Emmène moi. [saturday]

Emmène-moi dans ton pays magique.

On en apprend tout les jours. Le temps révèle tout : c'est un bavard qui parle sans être interrogé. Mécanik c'était arrêté prés d'une cascade qu'il regarda a la fois émerveiller et effrayé. En effet cette cascade dite divine était d'apparence si parfaite, mais qui oser s'en aventurer s'en prudence finirai facilement par être emporté par le courant et dégringolerait tout le long de son descente. L'étalon paint voulait la traverser il avait entendu de dire que c'était un paradis inhabité, enfin sa il n'y croyait pas trop. Il voulait juste transverser et en ressortir indemne...

Le jeune étalon trouvait cette cascade reposante. Finalement, Saturday percus une odeur d'étalon, néomoins familière. Bizarre, parce que l'odeur ne lui donna aucune image ni rien et le petit fut obligé de continuer sa route, pour tomber juste devant quelqu'un. Cet étalon était qui, déja? Soudain, dans ses yeux, il vue de la terreur a place de la devinette. "Papa..." dit-il avec difficulté.

Le monde est petit

On croise des gens, des personnes qu'on pensait jamais revoir, le monde est plus petit que l'on le pense. Comme aujourd'hui lorsque Mécanik se retrouva face a son fils, saturday. Sa se passa es vite il examinait la cascade, elle l'intriguai beaucoup malgré le son rassurant cristallin quel fesait, une odeur familière lui était parvenu. Il huma plusieurs fois l'air pour s'en assurer. Et lorsqu'il se retourna pour voir il aperçut a plusieurs mètre de lieu un poulain alezan. Et lorsqu'il dit un mot on apercevait de la terreur dans ses yeux. Méca resta silencieux, parfois il est préférable de ne rien dire...

Saturday hésita a courire dans ses bras, ou s'éloigner au grand galop. Il opta pour simplement se retourner, n'aimant pas vraiment son père. "Pourquoi tu m'as abandonn.m hein? Tu m'aimais pas?" dit-il entre ses larmes. Et ce n'était guère des larmes de joies, mais de peine. De peine d'avoir retrouver son père, aussi. Son éxistence était calme, jusqu'a maintenant...a part ce grand noir méchant. Il pleura maintenant, n'aimant pas cette situation, avant de finalement se retourner pour regarder son père.

Des mots qui pleurent et des larmes qui parlent.

« Pourquoi tu m'as abandonner hein? Tu m'aimais pas?»

L'étalon resta embarrasser devant le poulain, ne sachant pas trop comment réagir. après tout c'était un peu de sa faute. Il en est conscient maintenant il doit assumer. Il avait fendu le coeur de son fils en l'abandonna. Au début il n'avait pas imaginer être confronter a sa un jour. Il avait eu tort a l'époque. mais il ne peut désormais plus reculé, il dois assumer cette vérité en face. NE sachant que trop que dire il dit, même si cela risquer de ne pas faire avancer trop les choses...

« Je suis désolé...»

Tout d'un coup, il se sentit...bizarre. Relevant la tête, il regarda la place. Mais ce n'était pas là, le problème. Levant les yeux, cette fois, il vue que le soleil était magnifique. Mais pourquoi avez-t-il cesser de pleurer? Il se rendit alors compte de la présence en arrière de lui, la présence d'un ami, d'un père. Mais aussi de quelqu'un l'ayant abandonner. Mais tout le monde avais le droit à une deuxième chance, de ce monde ou dans un autre. Et ce fut Saturday, qui pardonna cette fois, acourant dans la crinière douce de son père, pleurant de joie dedans.

Parfois il vaut mieux se taire et faire

Mécanik observa avec attention le poulain alezan, son fils Saturday. Il avait cesser de pleurer. Le soleil brillait encore, pas un nuage n'ornait le ciel. Et l'étalon observer. Ce poulain qui le pardonna.et qui courra vers lui et se plonger la tête dans ses crains. Méca émut, versa aussi des larmes, de joie, surtout de joie, il entoura le poulain de son encolure tricolore et le serra tout fort contre lui. Prenant garde tout de même de ne lui faire aucun mal.