Illusion [libre]

Illusion

L'imagination qui fait naître les illusions est comme les rosiers qui produisent des roses dans toutes les saisons. On eu peu pas toujours anticipé. Ce bord de mer était comme une illusion pour Mécanik, cet étalon paint qui marchait les sabots se fesant bercés par l'écume que ramener les vagues de la mer. C'était trop "parfait" en apparence. Que ce lieu devait caché quelque chose pour lui, quelque chose de sombre mais la réponse il ne la connaitra jamais. Surement... Une légère brise s'était lever fesant flotté ses crins noir dans l'air. il marchait peu pensif, il réfléchissais. A quoi, a se qu'il pourrait faire. En effet il est pas comme tout ses beaucoup d'autre qui aime gâcher leur temps a rien faire. A ne rien dire et les trois quarts du temps a dormir...

Le vent de la mer semblait me faire pousser des ailes, j’avais l’impression que plus je galopais plus j’allais m’envoler dans le ciel. Je ne faisais plus vraiment à où j’allais j’avais qu’un seul but réussir à m’envoler. Oh ! Je ne comptais pas partir, loin de là, j’aimais bien trop ma mère pour cela et je ne voulais pas lui faire de mal. Mais, juste pour partir quelques instants avant de revenir. Je poussais sur mes postérieurs pour m’enlever dans les airs mais je retombais rapidement au sol. Je continuais de galoper le plus vite possible essayant de nouveau et sans relâche de sauter dans le but de voler comme les mouettes que je voyais planer avec tant de grâce. Mais, je ne pourrais jamais y arriver n’est-ce pas ? Je serais continuellement condamné à rester sur terre à utiliser simple mes jambes pour me porter et courir face ou avec le vent pour me donner l’impression de voler. J’aurais voulu moi aussi avoir de grandes ailes peut-être qu’avec cela, Saturday arrêterait de me dire que je suis moche. J’y peux rien si je ne ressemble pas au modèle de beauté qu’il aime lui, j’ai rien demandé même pas son avis.

Je me stoppais dans ma course folle pour reprendre mon souffle pas évident à faire. Mon regard lui désireux de partir là-haut ne quittait pas les ailes des mouettes qui semblaient se rire de mon malheurs. Je leur en veux à tous … Pourquoi faut-il qu’ils aient toujours plus que moi ? Un bruit me fit redescendre sur terre, plutôt des pas. Mon regard dévia se posant alors bientôt sur un étalon d’une magnifique couleur, Mécanik. Je me mis à sourire de joie, j’étais heureuse de le revoir, après tout, tout le monde n’a pas la chance d’avoir un superman pour soi ! Je commençais alors à trotter à sa rencontre hennissant joyeusement devant lui. Je m’arrêtais à environ deux mètres de lui, le laissant alors faire le reste du chemin si il le souhaité. Enfin s’il ne le faisait pas, je le ferrais à sa place.


Lollipop - « Bonjour ! »


Je me redressais pour être droite comme un ‘I’ tandis que je le fixais en souriant. J’étais contente de voir quelqu’un que j’apprécie ! Cela fait un moment que je n’avais pas eu cette occasion.

Le rêve de toute une vie.

La fainéantise tue. Rêver sa fait toujours un peu de bien. S'évader quelque seconde, pas trop loin car sa pourrait faire mal. On en a tous besoin, qu'importe le caractère. C'est la même chose pour tous.Les mouettes volent, les équidés non c'est une réalité, une triste vérité. Pégase est une exception , il n'a jamais existe, quoique nous ne le savons pas vraiment. Il reste tout de même un mythe une légende pour tous. Méca lui rêve de tout effacer ce qui est pratiquement déjà fait depuis qu'il c'est réveiller un beau jour mal en point dans le fond d'un vieux canyon dessécher. Depuis qu'il ne se souviens plus de son passé. Son amnésie. Il ne sait plus, mais sa ne le dérange pas il s'y est fait au début sa fait peur, de se sentir si impuissant face a sa. Mais il faut un jour accepter la réalité en face et ne pas, surtout pas se lamenter sur son sort. Lui il a tenu bon. Car il a rêver de tout recommencer, de recommencer une nouvelle vie, et c'est ce qu'il fait...

L'écume balayer encore le sable et les sabot de l'étalon paint de manière régulière comme si quelqu'un, que Adam ou Eve ou bien dame nature l'avait programmée. Question sans réponse. Il ne faut pas trop s'attarder sur les détails sa embrouille, rend confus on n'y comprend de moins en moins. Hors l'étalon ne pouvait s'empêcher d'évaluer chaque détail qui l'environne. Mais cette façon d'observer le quitta totalement lorsqu'il vit arriva en l'espace de quelque seconde une pouliche qu'il connaissait bien: Lollipop. Il l'aimait beaucoup cette petite, ne lui demandait pas pourquoi il a ses raisons bien a lui il sa m'étonnerai qu'il vous les dévoile. Elle était arrivé comme toujours contente et souriante. Quelque mètre les séparer , il les franchit aisément ...

« Coucou toi ! Comment tu va ? »

Sans grande surprise Mécanik finit les derniers pas qui nous séparés. Je ne sais pas pourquoi je ne l’avais pas fait peut-être de peur de continuer dans ma lancé et ne plus pouvoir freiner quand il l’aurait fallut à la fin. Cela aurait été assez ballot tout de même…


Mécanik - « Coucou toi ! Comment tu va ? »

Lollipop - « Je vais bien merci et toi ? »


Je continuais de lui sourire alors que je me mis à marcher quelque peu pour me mettre à côté du grand étalon et du même sens cela pouvez nous permettre d’avancer un peu s’il le désirait. Ah oui, je ne suis pas du genre a partir dès que j’ai trouvé quelqu’un que j’aime bien, au contraire je m’accroche. On regard pétillant de vie et malice se posa sur l’étalon alors qu’une idée folle et surtout très enfantine me traversa l’esprit. Est-ce grave ? Non je ne pense pas après tout autant profiter de ma jeunesse avant d’être vieille et ne plus savoir faire un pas devant l’autre. Je fis un léger saut sur place alors que je commençais à marcher enfin je fis a peine quelque pas.


Lollipop - « Dit… Tu crois être capable de me battre à la course ? Je suis une grande championne ! »


Oh ! Je mens, je sais très bien que je ne suis pas une championne mais j’avais envie de défier un peu et surtout amuser. Je me mis a partir alors soudainement au galop regardant derrière moi pour voir si ‘étalon me suivait ou pas. Après tout il avait peut-être pas envie…

Un rêve sans étoiles est un rêve oublié

« Je vais bien merci et toi ? »
« Bah oui sa va :) »

La jeune pouliche se mit a marcher, Mécanique fit de même restant a ses côté. Il faut profiter du moment présent, car le temps passe plus vite que l'on ne le pense. On ne peut pas faire un retour dans le passé. Ce serais super, mais c'est impossible, rajeunir, un rêve que l'étalon aimerai. mais il accepte une nouvelle fois les tristes vérités. il profite de la vie, du temps, de chaque petite et courte seconde qui passe. comme en restant avec les seuls personne qui conte a ses yeux. Ces êtres qui chaque jour, chaque fois qu'il a l'occasion de les voir, de leur parler, ils arrivent a illuminer sa journée. il ne lui en faut pas beaucoup, sa lui suffit et tout le monde est content. Certes il y a toujours des gros coup de blues, on ne peut pas toujours les éviter mais quand on est avec ceux que l'on aimer on arrive a les maitriser a les dissiper.

« Dit… Tu crois être capable de me battre à la course ? Je suis une grande championne ! »
« On va voir sa tout de suite »

Et il partit, oui, oui toujours de l'énergie a dépenser. La petite se débrouiller pas mal. Il la rattrapa et resta a ses côtés. Elle promettait d'être réellement une championne quand elle serais plus grande il n'y a aucun doute avec sa. une chose qui est claire et net...

Mécanik - « On va voir sa tout de suite »


Je me mis à rire légèrement alors que le grand étalon me rattrapa sans aucune difficulté. Il resta tout de même à mes côtés. Je le regardais en souriant alors que j’essayais du mieux que je pouvais d’accélérer dans le but de le dépasser, mais mes jambes ne semblent pas encore assez musclé pour cela. Mes postérieurs volèrent en arrière dans un hennissement joyeux de ma part. Rien a dire c’était nettement plus amusant de galoper en compagnie de quelqu’un que seul. Alors que j’essayais d’agrandir foulé je me retrouvais comme tout insecte ou voulant se rapprocher du la lumière. Mes ailes ont finis par bruler. Brusquement, e n’étais plus là… La tête la première dans le sable et les fesses en l’air. Un léger hennissement de peur plus que de douleur s’échappa de ma gorge. Non je n’avais pas eu mal, plus de peur que de bobo… Je suis vraiment pas douée, même mettre un sabot l’un devant l’autre j’ai du mal à le faire… Je m’allongeais tranquillement dans le sable, regardant Mécanik avec des yeux rond avant de me mettre à rire aux éclats.


Lollipop - « Petit problème de coordination… »


Je me remis debout tout en me secouant dans le but d’enlever le sable de ma robe. Je me mis alors à trotter gentiment vers l’étalon tout en lui souriant. Ah… Ben oui, je sais je dois regarder en face de moi quand je galope… Bon quand je marche aussi, je suis pas la dernière pour foncer dans un arbre au contraire… Peut-être qu’a cause de cela mon cerveau a un décalage… Je me remis à sourire a l’étalon gentiment avant de tirer l’un de mes antérieurs en avant.